© Élan d’Orphium

María Jerez.
No ser ni la sombra de lo que se fue. Chapter 5

Lorsque nous voyons une ombre, nous voulons découvrir d’où elle vient. Surtout quand il ne devrait pas y avoir d’ombre. Parfois, l’origine de l’ombre n’est pas concrète, il n’y a pas de corps impliqués.
Dans son nouveau spectacle No ser ni la sombra le lo que se fue. Chapitre 5, (ou : « Ne même pas être l’ombre de soi-même ») la chorégraphe Maria Jerez oublie l’origine réelle de l’ombre afin de se concentrer sur le phénomène comme source de mouvement. De cette façon, l’image ne doit plus être hyper-visible. Parce que nous ne sommes jamais dans un endroit à partir duquel nous pouvons tout superviser. Il y a toujours une part qui reste dans l’ombre.